-
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
-
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
-
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
-
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
-
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
-
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
-
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
-
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
-
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
-
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
-
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
-
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
-
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
-
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
-
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
-
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
-
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
-
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
-
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
-
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
-
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
-
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
-
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
-
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
Éclats ou repenser ses blessures, 2004
Sources
Collection de trois carnets de cartes postales datant des années 1962-63 représentant les fêtes de l’Indépendance dans la ville d’Alger en liesse + prises de vues contemporaines réalisées à Alger centre par C.P.
Index
Carte blanche de l'Institut français d'Alger, Algérie
Série de 20 pièces photographiques
Tirages : impressions textile - Formats 137 cm x 250 cm - fabrication Ste OZ design. Edition de 5.
Installation : Dans l'enceinte du Lycée Alexandre Dumas des tirages impressions textiles sont suspendus dans les patios de l'établissement.
Texte d'auteur : Se mettre en Aventure, Aldo Herlaut, Editions Filigranes
Presse : Alger de ma fenêtre, Le Monde du 23 décembre 2004
Livre : Eclats ou repenser ses blessures, Aldo Herlaut, Editions Filigranes
Série de 20 pièces photographiques
Tirages : impressions textile - Formats 137 cm x 250 cm - fabrication Ste OZ design. Edition de 5.
Installation : Dans l'enceinte du Lycée Alexandre Dumas des tirages impressions textiles sont suspendus dans les patios de l'établissement.
Texte d'auteur : Se mettre en Aventure, Aldo Herlaut, Editions Filigranes
Presse : Alger de ma fenêtre, Le Monde du 23 décembre 2004
Livre : Eclats ou repenser ses blessures, Aldo Herlaut, Editions Filigranes
Présentation
Alors que les élèves et professeurs du Lycée français Alexandre Dumas d’Alger travaillent à la réalisation d’un livre de témoigages sur le thème de la mémoire générationelle des Algérois-es, l’Institut français me fait la proposition de me joindre à ce collectif. C’est ainsi que j’élabore une nouvelle série photographique Eclats, ou repenser ses blessures.
Je parcours et photographie la ville, ses différents quartiers et leurs spécificités.
Près de la Grande Poste, par hasard, j’acquiers auprès d’un marchand ambulant trois carnets de cartes postales représentant les fêtes de l’Indépendance dans la ville d’Alger en liesse (1962).
Un lien se crée entre ces carnets et l’image de la ville telle que je la photographie.
Je compose, par l’assemblage de multiples fragments de cartes postales, une forme carrée faisant allusion au moucharabieh (qui permet de voir et de dissimuler à la fois).
Ce motif vient se superposer aux photographies, entravant ainsi la vision ‘lisse’ du présent.
Je parcours et photographie la ville, ses différents quartiers et leurs spécificités.
Près de la Grande Poste, par hasard, j’acquiers auprès d’un marchand ambulant trois carnets de cartes postales représentant les fêtes de l’Indépendance dans la ville d’Alger en liesse (1962).
Un lien se crée entre ces carnets et l’image de la ville telle que je la photographie.
Je compose, par l’assemblage de multiples fragments de cartes postales, une forme carrée faisant allusion au moucharabieh (qui permet de voir et de dissimuler à la fois).
Ce motif vient se superposer aux photographies, entravant ainsi la vision ‘lisse’ du présent.
Détail moucharabieh
Se mettre en aventure.
Texte de Aldo Herlaut, directeur de l'Institut français d'Alger.
Catherine Poncin se sert des images comme autant de machines à explorer la mémoire. Elles sont, pour elle, un moyen de retracer l’histoire. Les montages qu’elle réalise, en associant ses propres photographies avec des images venues d’ailleurs, issues du fond de l’Histoire ou de patrimoines iconographiques, montrent le travail de sedimentation, de traces par lequel se construit son rapport à la création.
Les images, avant même qu’elles ne soient photographies, ont une histoire que le regard et le travail de l’artiste recompose. Ses voyages et ses réalisations sont au service d’autrui, en quête d’un ami inconnu. Elle se pose des questions : ses photographies tentent d’y apporter réponse et racontent l’aventure de l’être humain, de sa condition.
Elle choisit de se ‘frotter’ au monde pour le ‘dire’, pour exorciser ses peurs, se mettre en danger. Elle nous propose une mise en abîme de la mémoire où la frontière entre réel et imaginaire est souvent incertaine.
Lire la suite
Catherine Poncin se sert des images comme autant de machines à explorer la mémoire. Elles sont, pour elle, un moyen de retracer l’histoire. Les montages qu’elle réalise, en associant ses propres photographies avec des images venues d’ailleurs, issues du fond de l’Histoire ou de patrimoines iconographiques, montrent le travail de sedimentation, de traces par lequel se construit son rapport à la création.
Les images, avant même qu’elles ne soient photographies, ont une histoire que le regard et le travail de l’artiste recompose. Ses voyages et ses réalisations sont au service d’autrui, en quête d’un ami inconnu. Elle se pose des questions : ses photographies tentent d’y apporter réponse et racontent l’aventure de l’être humain, de sa condition.
Elle choisit de se ‘frotter’ au monde pour le ‘dire’, pour exorciser ses peurs, se mettre en danger. Elle nous propose une mise en abîme de la mémoire où la frontière entre réel et imaginaire est souvent incertaine.
Lire la suite
Sans titre - 137 cm x 250 cm - Monotype
Installation
Lors de la sortie du livre Eclats ou repenser ses blessures, les élèves réalisent dans l'enceinte du lycée A. Dumas une performance. Tous les visuels du livre sont tirés sur textile puis installés, suspendus dans les patios. Les protagonistes déambulent en déclamant des extraits de textes. L'ensemble des étudiants du lycée, leurs familles ainsi que les partenaires sont conviés à cet évènement. A cette occasion, un exemplaire de l'ouvrage est offert à chacun.
Expositions
2006 Université Mohamed Boudiaf (département architecture), Usto, Oran, Algérie. + 2005 Bar Floréal, Paris, France. + 2004 Lycée Alexandre Dumas, Alger, Algérie.